Votre récit doit-il être un fauteuil au coin du feu ou une montagne russe ?

Aujourd’hui, nous allons nous intéresser au récit, aux deux uniques styles d’écriture qui le composent, et comment utiliser l’un ou l’autre pour moduler le rythme du récit et éviter de lasser ou d’étourdir le lecteur.

Car oui, il n’y a que deux façons de mener un récit. C’est la conclusion à laquelle je suis arrivée après bien des années à taquiner la Muse. J’ai tourné le problème dans tous les sens et je n’ai pas réussi à réfuter cet argument massue : quoiqu’on fasse, quoiqu’on veuille, quoiqu'on dise, il n’y en a que deux. 

Le descriptif ou le narratif.   

L’idée, bien sûr, n’est pas nouvelle. Ce n’est pas comme si elle était surgie spontanément de ma vieille caboche ou de mes neurones au bord du burn-out. Tout le monde sait cela. Pourtant, c’est une question fondamentale lorsqu’on réfléchit à la façon d’introduire et développer un sujet, une scène, un personnage, une idée, etc.